• Pour être franc, je ne regarde pas la télévision... il faut bien admettre que les niaiseries télévisuelles tiennent le haut du pavé et ne cessent de mélanger vie publique et vie privée. Observez la plupart des émissions de télévision, pas seulement sur TF1 mais aussi sur les chaînes du service public. Ainsi, derrière notre écran, nous pouvons donc découvrir la vie de telle ou telle personne, sa profession, ce qu'elle fait de ses journées, ses tracasseries quotidiennes, comme dans le cadre d'émissions de type C'est quoi l'amour, Vie privée vie publique, Supernnany, quand elles ne sont pas mises dans un loft et qu'on leur demande d'aller toujours plus loin, comme ce fut le cas de l'émission Dilemne ou encore Carré VIP, tant caricaturale qu'elle fut un échec retentissant http://www.francesoir.fr/people-tv/television-media/tf1-carre-viiip-ou-tele-realite-morte-nee-87784.html

    Pour autant, on ne peut que s'interroger et se demander si ces émissions sont réellement utiles et si elles ne nuisent pas aux personnes qui y participent, vu qu'elles étalent alors leur vie devant le public, présent sur le plateau mais aussi derrière son poste de télévision. Est-il vraiment nécessaire que ce genre d'émissions soit financés par le service public ? Est-il ainsi salutaire que l'on mette fin aux frontières entre vie privée et vie publique ? Je pense que la question mérite d'être posée... 


    votre commentaire
  • Loin du tumulte parisien, la Normandie semble être un havre de paix. La Normandie, c’est la baie du Mont Saint Michel, au rayonnement international, visitée par un grand nombre de touristes. C’est aussi le Havre et son port, à un emplacement si stratégique qu’on le décrit comme étant celui du Grand Paris. Bien sûr, nous nous devons de citer Etretat et ses falaises sublimes surplombant la mer ou encore un grand nombre de monuments historiques, parmi lesquels la Tour de Carville et le domaine du Château de Plessis. Mais la Normandie, c’est aussi Rouen et sa Place du Vieux Marché, sans oublier bien sûr son littoral. Là, on retrouve des stations balnéaires très appréciées et connues du grand public à l’image de Cabourg, de Trouville mais aussi et surtout la perle de la côte fleurie : Deauville et sa place du casino que tout le monde a vu au moins une fois dans sa vie, ne serais-ce dans une salle de cinéma ! Réputée pour son savoir vivre, son élégance, sa qualité de vie, la Normandie fait rêver un nombre croissant de français qui rêvent de s’y établir ou même d’y séjourner.  


    2 commentaires
  • Suis-je le seul à penser que le salaire promis à Zlatan comme joueur du PSG qui s'élève à 9 millions d'euros est totalement indécent ? Tout le monde eut l'air de se réjouir de l'arrivée d'un tel joueur dans le cadre du Paris Saint Germain http://www.melty.fr/zlatan-ibrahimovic-son-salaire-revu-a-la-baisse-a129993.html 


    Qu'il est loin le temps d'un Platini ou d'un Pelé qui ne percevaient pas des rémunérations aussi atronomiques mais qui n'en brillaient pas moins sur le terrain. A l'heure où le foot est devenu un véritable business, comme une preuve de plus que nous vivons dans une société sans repères mais aussi sans limites.

    Le foot autrefois n'étaient pas autant pervertit par l'argent roi comme il l'est devenu à présent. Pour autant, l'équipe de France mais aussi les autres savaient alors nous entraîner de la même façon que lors du mondial de 1998, où nous étions tous heureux d'être français et d'avoir remporté la coupe du monde. 


    2 commentaires
  • S'il y a un sujet sur lequel il peut y avoir un consensus bipartisan, c'est sur celui de l'actuel Président du conseil italien, Silvio Berlusconi. Bien sûr, Romano Prodi a été victime de nombreuses dissidences au sein même de sa majorité, qui fut assez hétéroclite, rassemblant aussi bien des chrétiens de gauche que des militants de la cause gay. Seulement, on peut se demander comment Silvio Berlusconi a-t-il pu se faire à nouveau élire en tant que Président du conseil, poste qu'il a occupé dès 2001 et où il a fait preuve de son incompétence en la matière sans même parler des affaires judiciaires qui ont éclaboussé tout son mandat.

    Ainsi, durant son actuel mandat, il a non seulement récidivé, mais a commis le pire : on le soupçonne ainsi d'avoir sollicité sexuellement des jeunes filles mineures (voir ici et ici).

    Autant dire qu'on a réellement le sentiment que l'on a touché le fond. Comment un homme aussi amoral peut encore se maintenir à son poste et gouverner son pays ? Aux Etats-Unis, les chambres du Congrès faillirent destituer le Président Bill Clinton parce qu'il aurait obtenu une faveur sexuelle d'une stagiaire. Dans le cas italien, il semble que nous en soyons très loin !

    Autant être franc, la meilleure chose que l'on puisse souhaiter, est qu'il perde les prochaines élections, permettant une victoire de la gauche italienne. Dans le cas présent, trop, c'est trop. L'Italie se grandirait fortement en décidant de mettre au pied du mur un homme qui ne cesse de la ridiculiser aux yeux du monde.


    votre commentaire
  • Avant tout, j'aimerais parler d'un sujet qui me tient particulièrement à coeur, le protectionnisme. On ne cesse d'entendre dans les médias, bien souvent, des experts ( dont certains ont des jetons de présence dans des banques, comme par hasard ) qui ne cessent de nous dire que le protectionnisme est au mieux une illusion, au pire une escroquerie intellectuelle. Bref, circulez, il n'y a rien à voir, même si des intellectuels pensent autrement http://ecointerview.wordpress.com/2011/04/30/emmanuel-todd-protectionniste-liberal/

    Ce discours est totalement abbérant car si effectivement, l'Union Européenne est ouverte à tous les vents, il n'en est pas de même lorsque l'on décide de regarder ce qu'il se passe en dehors de l'Union. Ainsi, aux Etats-Unis, patrie du capitalisme, on n'imagine nullement un débat entre les députés du Congrès et les compagnies américaines, pour savoir si celles-ci devraient acheter des Boeing ou pas http://www.usinenouvelle.com/article/bernard-carayon-air-france-doit-soutenir-airbus.N153354 tant cela semble aller là bas de soi ! On l'a vu encore récemment avec l'épisode de Bombardier au Canada, alors qu'Airbus était de bien meilleure facture ! Sans parler de l'Inde, le Brésil, la Chine, les pays asiatiques, qui vont jusqu'à taxer nos propres produits et les produits européens jusqu'à 150 %, mais qui taxent bien moins les leur, pour se protéger de la mondialisation ! Rappelons aussi que les allemands n'ont pas voulu de l'indien Mittal et que ce sont les autorités françaises de l'époque qui ont poussé en ce sens. On comprend mieux désormais pourquoi !  

    Mais revenons à la Grèce qui fait partie de l'Europe et qui a comme monnaie commune l'euro, monnaie qui profite surtout à l'économie la plus forte, à savoir l'Allemagne, qui n'a pas le même modèle que celui des pays du Sud, plus axés sur la consommation intérieure.. Le FMI impose une cure d'austérité sans précédent au peuple grec qui pourrait bien empirer les choses http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/05/13/un-plan-d-austerite-a-l-oppose-des-besoins-de-la-grece-et-de-l-europe-par-gabriel-colletis_1350560_3232.html rappelons que lors de la crise asiatique de 1997, la Malaisie, en son temps, avait refusé de suivre le FMI. Bien lui en pris ! 

    On imagine sans peine qu'après l'Espagne, le Portugal et l'Italie, le prochain pays sur la liste sera la France. Certes, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : depuis ces trente dernières années, des erreurs de gestion ont été commises par les différents responsables politiques. N'oublions pas néanmoins et c'est Michel Rocard, ancien Premier ministre qui le dit, que notre dette publique ne représenterait que 17 % si l'on avait toujours emprunté à la Banque de France sans intérêts, comme c'était le cas avant 1973. Le cas de la France est semblable à une personne qui recourt au crédit revolving : elle commence d'abord par faire des emprunts, puis en fait de nouveaux pour rembourser ses emprunts et les intérêts ne cessent d'augmenter, tant et si bien qu'elle n'est plus en mesure de rembourser !

    Un homme d'Etat, visionnaire, avait vu tout ce qui s'est produit depuis la crise financière de 2008. La Grèce, les pays du Sud, le sort de l'euro. Il s'y était opposé d'ailleurs et avait parlé de Munich social. Cet homme était maire d'Epinal, préfecture des Vosges. Il s'appelait Philippe Seguin.

     

     

     

     

     La


    2 commentaires